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Expositions passées

 

Expositions passées

L'Ovalie à l'envers – les Wallabies et la Coupe du monde (1987-2023)

1er octobre – 31 octobre 2023 

Pour célébrer la Coupe du monde de rugby 2023, l'Ambassade d'Australie et Rugby Australia vous invitent à plonger au cœur de la mêlée avec l'exposition « L'Ovalie à l'envers : les Wallabies et la Coupe du monde (1987-2023) ».

Avec plus de 70 photographies, dont de nombreux grands formats, exposées dans le grand hall de l’Ambassade, à deux pas de la Tour Eiffel, découvrez et revivez les grands moments de l'équipe de rugby australienne: les Wallabies.

Découvrez également l’importance du rugby pour les pays du Pacifique Sud, et son rôle dans la diplomatie sportive de l’Australie dans la région.

Les Wallabies soulèveront-ils à nouveau la Webb Ellis Cup avant d'accueillir la Coupe du monde en 2027 ? Selon l'expression française : jamais deux sans trois !

 

Arts Hub – la boutique du Centre d’art 

4 avril – 25 août 2023 

La boutique propose une sélection d'œuvres disponibles à la vente provenant des centres d'art aborigènes associés à l’exposition Songlines.  

La sélection présente un panorama de la peinture aborigène du désert, racontant l'histoire des Sept Sœurs. Elle comprend une grande variété d'œuvres, allant de petites toiles accessibles à des œuvres de grande taille, réalisées à la fois par des artistes émergents et par des artistes reconnus. Toutes proviennent de centres d'art autochtones situés le long de la Songline des Sept Sœurs, qui traverse les déserts du centre et de l'ouest de l'Australie.  

Les visiteurs pourront y acquérir des œuvres exceptionnelles, accompagnées de certificats d'authenticité, à des prix raisonnables et dans des conditions éthiques et transparentes. Ces ventes permettent de soutenir les artistes et les communautés aborigènes.  

Cette initiative est organisée par IDAIA en collaboration avec les artistes, les centres d'art et Emilia Galatis Projects, l'ambassade d'Australie en France, le National Museum of Australia et le musée du Quai Branly – Jacques Chirac. 

Songlines. Chant des pistes du désert australien est une exposition itinérante internationale produite par le National Museum of Australia avec le soutien constant des gardiens traditionnels de la Loi et des savoirs aborigènes sur l’histoire des Sept Sœurs. 

 

Kulata Tjuta : Chefs-d'œuvre de la collection Dr Pierre et Alexandre Vaysse 

4 avril - 18 août 2023 

Cette exposition rassemble une sélection de 22 œuvres majeures peintes par des artistes Anangu des terres Anangu Pitjantjatjara Yankunytjatjara (APY), à l'extrême nord-ouest de l’Australie du Sud, dans le désert australien. Elles font aujourd’hui partie de la collection Dr Pierre et Alexandre Vaysse. 

Extrêmement colorées, ces créations contemporaines sont issues du projet Kulata Tjuta développé par le Collectif des centres d’art APY (APY Art Centre Collective) dans les années 2010 pour permettre la création d'installations majeures s'appuyant sur des traditions, des connaissances et des compétences ancestrales. Spécialement conçues pour préserver la richesse du Pays et des cultures autochtones, ces œuvres perpétuent ainsi une tradition millénaire transmise par les Aînés. Cette itération du projet Kulata Tjuta faisait partie de Tarnanthi à l'Art Gallery of South Australia en 2017. 

Aujourd’hui, plus de 500 artistes Anangu, hommes et femmes issus de trois générations, créent et commercialisent leurs œuvres à travers les sept centres d’art du Pays APY. 

Dans les communautés de l'APY, les centres d'art sont la seule source de revenus non gouvernementaux. Ces centres d'art accueillent certains des artistes autochtones les plus connus du pays, ainsi qu'une multitude de jeunes artistes émergents.  

 

Songlines. Centres d'art du désert australien  

4 avril – 11 juillet 2023 

En collaboration avec le National Museum of Australia, l’ambassade d’Australie à Paris présente « Songlines. Centres d'art du désert australien », une exposition qui met en scène la reconstitution d’un atelier d’un centre d’art typique du désert. Une occasion unique d’en apprendre plus sur le fonctionnement et l’important rôle économique et culturel des centres d’art, et de découvrir des œuvres disponibles à la vente d’artistes issus des mêmes communautés que celles présentées dans l’exposition Songlines. 

Depuis des milliers d'années, l'histoire des premiers Australiens est entretenue par les Anciens à travers des récits racontés sous forme de peintures, de cérémonies et de chants. Transmises de génération en génération, ces Songlines sont plus que des récits légendaires, ce sont de véritables couloirs de connaissances, des chemins tracés au fil des millénaires qui contiennent les règles fondamentales de l'organisation sociale, des connaissances écologiques, astronomiques ou géographiques indispensables à la survie.  
En complément de l’exposition au musée du quai Branly – Jacques Chirac, « Songlines. Centres d'art du désert australien » offre aux visiteurs l'occasion de vivre une immersion unique dans le lieu où se rassemblent et créent les artistes Anangu. 

 

Maree Clarke : Rituel et Cérémonie

Du 10 octobre 2022 au 17 mars 2023

« Ce travail représente les pratiques de deuil de personnes aborigènes le long des rivières Murray-Darling. Il parle de la perte des terres, des langues et des pratiques culturelles. Ces 84 personnes ont pu partager leurs histoires de perte, de chagrin et de deuil. » – MAREE CLARKE

Maree Clarke vit à Melbourne, en Australie, depuis de nombreuses années, où elle contribue grandement à la communauté artistique locale. Elle est née à Swan Hill, dans le nord-ouest de l’Etat du Victoria, et est liée aux terres traditionnelles des peuples Mutti Mutti, Wamba Wamba, Yorta Yorta et Boonwurrung.

Une grande partie de l'œuvre de Maree Clarke est réalisée à partir de, et sur, la mémoire, qu'il s'agisse d'une mémoire personnelle, comme celle de dormir enfant dans une valise sur les rives de la rivière Murrumbidgee ou de grandir et de se rendre dans la maison de sa grand-mère, ou d'une mémoire culturelle inscrite dans le paysage, écrite sur le Pays. Les souvenirs ancestraux se répercutent à travers le temps : on les trouve dans les objets ancestraux et dans les nouvelles expressions des anciens savoir-faire. Ces souvenirs forgent et renforcent les liens qui sont au cœur de l'œuvre de Maree Clarke.

Tout au long de sa carrière, Maree Clarke a développé une pratique pluridisciplinaire profonde et contemplative qui revendique et célèbre continuellement les rituels, la langue et l'art traditionnels aborigènes. Ce corpus d'œuvres phares, Rituel et cérémonie, 2012, comprend 84 portraits nommés d'hommes et de femmes aborigènes du Victoria. L’artiste utilise cette série photographique pour parler ouvertement de la présence physique des peuples aborigènes dans le sud-est de l’Australie, en nommant des individus comme antidote à l'absence de noms de créateurs aborigènes dans les collections historiques.

Maree Clarke pousse les visiteurs à réfléchir à l'héritage de l'effacement qui a été perpétué par les institutions constituant des collections. Elle utilise de l'ocre blanc peint sur le visage et les cheveux de 38 femmes, et sur les yeux et les tee-shirts de 46 hommes, pour représenter les coiffes et peintures corporelles cérémonielles des veuves, ainsi que les scarifications, pour honorer ce qui a été perdu.

Les 84 photographies qui composent Rituel et cérémonie sont accompagnées d'une sélection de « kopi » (casques crâniens) provenant des personnes figurant sur les portraits. Les kopi étaient traditionnellement fabriqués à partir de gypse (une substance souple ressemblant à de la craie) et d'ocre. Ils étaient portés par les femmes sur la tête pendant de longues périodes, faisant partie intégrante des rites de deuil, avant d'être déposés sur la tombe du défunt. Maree Clarke s'étend sur les anciennes cérémonies de deuil, utilisant son art pour faire simultanément revivre et réfléchir à la perte des pratiques rituelles aborigènes contemporaines de deuil dans le Victoria et le sud-est de l’Australie.

 

Destin : l’art de Destiny Deacon

Du 5 Mai au 2 Septembre 2022

Destin, une rétrospective dédiée à Destiny Deacon, retrace 30 ans de sa carrière d’artiste contemporaine, pour la première fois devant un public français.

Souvent en collaboration avec sa compagne et collaboratrice de longue date, Virginia Fraser, Deacon propose un tableau nuancé, réfléchi et parfois intensément drôle de la vie contemporaine australienne.

Réunissant différents supports, cette rétrospective présente des photographies, des vidéos, des sculptures et des installations.

Ses premières œuvres audiovisuelles figurent parmi les tirages photographiques et offrent un aperçu unique de la vision du monde de Deacon, sombrement comique et idiosyncrasique.

En mettant en contraste des images d’enfance à première vue innocentes avec des scénarios inspirés des aspects les plus sombres de l’âge adulte, Destiny Deacon transporte les visiteurs dans une vallée inquiétante, un monde chaotique où des poupées disgracieuses exécutent des scènes sinistres pour le plaisir du public.

Cette exposition comprend également un certain nombre de nouvelles œuvres et présentera pour la première fois deux nouvelles séries d’œuvres de Deacon et Fraser.

 

Eurêka : L'Australie scientifique

Du 3 Mars au 30 Juin 2022

La science, la technologie et l’innovation contribuent à notre prospérité, élargissent nos connaissances et nous permettent de développer de nouvelles réponses aux grands défis de demain.

Aux quatre coins de l’Australie, les gouvernements, les entreprises et les chercheurs travaillent ensemble, aux côtés de partenaires internationaux, comme la France, pour développer ces compétences.

Cette exposition présente de fascinants projets australiens de technologie environnementale, dans trois domaines différents :

  • le développement et la commercialisation des technologies à faibles émissions,
  • la protection de la Grande Barrière de corail et
  • l’astronomie.

 

Piinpi : mode Aborigène contemporaine

Du 31 janvier au 22 avril 2022

Créée par la Bendigo Art Gallery, l’exposition Piinpi : mode Aborigène contemporaine met en lumière les principaux créateurs des Premières nations d’Australie ainsi qu’un nouveau courant qui est en train de devenir un phénomène de mode national.

En présentant pour la première fois en Europe le travail d’artistes et de créateurs Aborigènes originaires des centres urbains comme de centres d’art plus isolés, Piinpi souligne la force et la diversité du secteur de la mode et du textile Aborigènes, actuellement en pleine expansion.

 

Grace Lillian Lee, Body Armour – A Weave of Reflection Pink and Orange, 2018. Photographie de Wade Lewis, courtoisie de l’artiste.

 

Antarctique : Terre de Science et de Paix

Du 20 octobre 2021 au 7 janvier 2022

Du lundi au vendredi (hors jours fériés), de 9h à 17h – 4 rue Jean Rey, 75015 Paris 
Entrée libre sur présentation d’une pièce d’identité

Photo de Guy Edgar avec l'accord de The Australian Antarctic Program

 

A l’occasion du 30e Anniversaire du Protocole au Traité sur l’Antarctique relatif à la protection de l’environnement (Protocole de Madrid), l’Ambassade d’Australie à Paris est heureuse de vous proposer l’exposition Antarctique : Terre de Science et de Paix qui vous plongera au cœur du continent blanc.

Ce protocole, signé à Madrid le 4 octobre 1991 et entré en vigueur en 1998, a véritablement changé le cours de la protection, gestion et gouvernance de l’environnement de l’Antarctique. Il désigne le continent blanc comme une « réserve naturelle consacrée à la paix et à la science » et interdit toute exploitation minière de ce dernier.

Dans le cadre d’Australia now France 2021-2022, nous voulons saluer cet accord qui est une initiative franco-australienne portée par les Premiers Ministres de l’époque, Michel Rocard (1930-2016) et Bob Hawke (1929-2019).

Cette exposition saura vous faire voyager vers le Pôle Sud au travers d’incroyables photographies de l’Antarctique. Vous pourrez également en apprendre plus sur le continent, son histoire, son environnement, les activités scientifiques qui y sont développées ou encore sur la vie dans les stations antarctiques australiennes.

 

Dessin du Territoire - Territoire du Dessin

Du 20 octobre 2021 au 7 janvier 2022

Du lundi au vendredi (hors jours fériés), de 9h à 17h – 4 rue Jean Rey, 75015 Paris 
Entrée libre sur présentation d’une pièce d’identité

Gauche : Patrice Balvay, 4°3'26''N,0°4'9.2"E-4°2'56",0°16'26"N,0°16'26"E (III) - Courtesy Patrice Balvay.

Droite  : Daphne Marks, Yalka at Karrkurutinytja (Rêve de l’Oignon de Brousse au Lac Macdonald) - Courtesy Ikuntji Artists

 

En octobre 2020, lorsque la Ville du Havre a lancé un appel à projets dans le cadre du programme Australia now France, l’artiste Patrice Balvay a spontanément proposé une œuvre inspirée de la relation particulière que les cultures aborigènes entretiennent avec les territoires. En effet, pour de nombreuses communautés aborigènes, le paysage résulte d’une interaction ancestrale entre les êtres humains et la Terre ; il est l’empreinte de récits véhiculant des valeurs et des mythes de création, appelés également des « rêves ». Cette thématique résonne de manière intime avec la démarche de Patrice Balvay, qui a déjà retranscrit par le dessin des déambulations dans divers paysages et les ressentis, les émotions, les impressions que ces marches lui ont inspirées.

Quand le centre d’art Ikuntji Artists a accepté de se lancer dans cette aventure, un dialogue s’est créé entre l’artiste français et les artistes femmes aborigènes du centre. Partages de photos ou de vidéos des artistes aborigènes en cours de création, de textes de réflexions ou d’images des carnets de croquis de Patrice Balvay : une œuvre collaborative est née, 14 toiles et dessins ont été réalisés dans un même esprit, sur deux continents et sont aujourd’hui réunis à l’Ambassade.

Cette exposition présentée d’abord aux Jardins Suspendus à l’occasion de « Le Havre, escale australienne » met donc en regard deux approches du paysage, et les imaginaires respectifs qu’il suscite. Le territoire vécu génère le dessin ou la toile, et en retour le dessin ou la toile deviennent un territoire à parcourir. C’est une œuvre unique qui vous fera voyager du Havre en Australie, d’Australie au Havre, selon les déambulations qu’emprunteront votre regard, vos sens, votre imagination.

Un projet à l'initiative de Patrice Balvay, organisé en collaboration avec IDAIA et la coopérative d'artistes Ikuntji à Haasts Bluff, en partenariat avec la Ville du Havre et l'Ambassade d'Australie en France, et avec le soutien de SIFA Logistics. 

Sous le commissariat de Patrice Balvay et Solenne Ducos-Lamotte, directrice d’IDAIA, en collaboration avec les sept artistes d’Ikuntji participant au projet, Ann Lane, Anne Dixon, Daphne Marks, Eileen Anyama Napaltjarri, Eunice Napanangka Jack, Keturah Zimran, et Patricia Multa ; et Chrischona Schmidt, manager d’Ikuntji Artists. 

 

GOTHIQUE BLANC - Petrina Hicks

Du 24 juin au 24 septembre 2021

 

Photo : Shenae and Jade 2005 de la série Sans titre 2005

Petrina Hicks : Gothique blanc, proposée par la National Gallery of Victoria, regroupe des créations réalisées entre 2003 et 2019 par la photographe australienne Petrina Hicks. Ensemble, les compositions chatoyantes, énigmatiques et surréalistes de Hicks transmettent l’ambiguïté et la complexité inhérentes à l’expérience féminine. À une époque où les questions de genre et de représentation sont plus que jamais d’actualité, les photographies de Hicks interrogent la représentation culturelle et visuelle des femmes et des enfants dans la société contemporaine et à travers l’histoire.

 

LONGITUDE/LATITUDE/SOLITUDE - Andrew Vukosav

Du 24 juin au 24 septembre 2021

 

« Longitude | Latitude | Solitude » est une impressionnante série de photographies aériennes du paysage australien réalisée par Andrew Vukosav. Lors de vols en solitaire, Andrew Vukosav a capturé l’immense diversité, la beauté et la singularité unique du paysage australien d’un point de vue qui bouscule les clichés touristiques habituels de « l’Outback ». Fruits de trois ans de travail, les clichés présentés dans cette exposition mettent en lumière l’Australie, des filigranes complexes et délicats des côtes aux vastes dunes et plateaux rocheux des déserts du centre. Avec ce projet, Vukosav a recherché une expérience photographique différente de celle consistant à tenir un appareil photo à la fenêtre du cockpit.

 

JARRACHARRA : les vents de la saison sèche

4 octobre 2019 au 10 janvier 2020 

 

Jarracharra : les vents de la saison sèche est une remarquable collection d’œuvres textiles réalisées par des femmes artistes Aborigènes du Bábbarra Women’s Centre, l’un des centres artistiques les plus isolés au monde, au cœur de la Terre d’Arnhem (Territoire du Nord, Australie). L’exposition met en lumière ces artistes qui utilisent des techniques contemporaines pour dépeindre leurs rites et récits traditionnels. Ainsi, en traversant l’exposition, le visiteur voyage dans les terres ancestrales du grand nord australien.

 

NGALA WONGGA - Signification culturelle des langues dans les Goldfields d'Australie-Occidentale

30 janvier au 6 septembre 2019

A l’occasion de l’Année internationale des langues autochtones, l’ambassade d’Australie en France accueille l’exposition Ngala Wongga : Signification culturelle des langues aborigènes dans les Goldfields d’Australie-Occidentale. Présentation en vidéo de l’exposition : https://vimeo.com/185575593

Ngala Wongga est une collaboration entre la photographe Martine Perret et la communauté aborigène de la région de Goldfields-Esperance, en Australie-Occidentale. Mêlant le paysage, le portrait et le multimédia, le travail de Martine Perret met en lumière le lien qui unit les « Elders » (Anciens) aborigènes à la terre, et souligne l'importance culturelle des langues menacées d'Australie.

 

Environ 120 langues autochtones sont encore parlées en Australie. Près de 110 d’entre elles sont en danger grave ou critique d'extinction. Mais il y a encore de l'espoir : on enregistre une augmentation importante de l’usage d’une trentaine de langues menacées grâce à des programmes linguistiques.

 

Photo : Andrew McLeish

 

W A L L   P O W E R - Contemporary Australian Photography

18 juin au 12 novembre 2018

WALL POWER : photographie australienne contemporaine présente le travail de vingt-deux photographes australiens majeurs, à travers leur exploration des mythes et légendes associés à la lumière, au paysage et à l'histoire uniques de l'Australie. Cette exposition réunit des œuvres emblématiques des photographes contemporains australiens les plus célèbres tels que Tracey Moffatt, Bill Henson et Christian Thompson.

 

Genèse -  William Robinson

29 janvier au 20 avril 2018

William Robinson est l’un des plus grands artistes australiens, qui a acquis une renommée internationale au fil des années. Il a reçu deux des prix australiens les plus prestigieux, le prix Archibald et le prix Wynne. Ses tableaux explorent les paysages variés dans lesquels il a vécu, et certains sont marqués par son passage à l’Atelier Bordas de Paris entre 1995 et 2006. Une exposition inédite de ses œuvres est organisée par la Queensland University of Technology à l’ambassade du 29 janvier au 20 avril.

 

Hear the Rattles (Entendre les cliquetis) - Christian Thompson

 Janvier 2018

Photo : Simon Patching
Christian Thompson est un artiste contemporain australien actuellement basé à Londres. Son travail explore les notions d'identité, de métissage et d’histoire. Une grande partie de son œuvre est liée à une démarche auto-ethnographique. L'artiste associe ainsi autobiographie et univers imaginaire tout en nuances pour produire des images qui relient son expérience personnelle à un contexte social, politique et culturel plus large.